Canicule
Davantage d’interventions de dépannage à cause de la canicule
8 août 2019 upsa-agvs.ch – La canicule de la fin du mois de juillet a mis le service de dépannage du TCS à rude épreuve: les températures élevées ont considérablement augmenté le volume de pannes. Une hausse de plus de 30 % du nombre d’interventions a été enregistrée certains jours. Les journées de canicule ont aussi permis aux garagistes de travailler plus.
pd./cst. Les personnes, les animaux et l’environnement, mais aussi les véhicules, sont très exposés lors de périodes de forte chaleur. Si une voiture reste immobilisée plusieurs heures sur un parking en asphalte en pleine chaleur, le risque est grand que sa température atteigne 70 °C, si bien que des dégâts peuvent en résulter. Une voiture fortement sollicitée lors de températures élevées risque toutefois aussi d’être endommagée.
Le TCS l’a constaté pendant la canicule de la fin du mois de juillet. En effet, les patrouilles ont dû intervenir plus de 2000 fois au cours de deux journées à peine, soit une hausse de plus de 30 % par rapport à des journées normales, indique l’association. Des pannes affectant les batteries des véhicules, les composants électroniques ou des pièces de moteur ont été à l’origine de l’intense activité estivale. «Ce sont justement les pannes de batterie qui causent de nombreuses interventions, car d’anciennes batteries sont particulièrement susceptibles de faire face à leurs limites sous la chaleur.» Des températures élevées dans le compartiment moteur favorisent les réactions chimiques indésirables qui contribuent aux défaillances de la batterie. Pour le TCS, la forte circulation due aux vacances constitue une autre cause des nombreuses interventions de dépannage.
«Il convient de s’assurer que la batterie n’a pas plus de cinq ans, faute de quoi elle est davantage susceptible de subir des dégâts», signale le TCS. Lorsque le mercure monte, il faut en outre garder un œil encore plus attentif que d’habitude sur la température du moteur et de l’huile. Si le niveau du liquide de refroidissement est bas ou si le témoin s’allume, le TCS conseille aux automobilistes de s’arrêter sans tarder et de contacter le service de dépannage. «Il suffit souvent de deux kilomètres supplémentaires pour abîmer le moteur, ce qui peut s’avérer très coûteux.»
La canicule a aussi permis aux garagistes de travailler plus. Dans huit cas sur dix, le TCS élimine lui-même la panne et l’automobiliste peut poursuivre sa route à bord de son véhicule. Si ce n’est pas possible, il choisit le garage dans lequel il souhaite que sa voiture soit remorquée.
pd./cst. Les personnes, les animaux et l’environnement, mais aussi les véhicules, sont très exposés lors de périodes de forte chaleur. Si une voiture reste immobilisée plusieurs heures sur un parking en asphalte en pleine chaleur, le risque est grand que sa température atteigne 70 °C, si bien que des dégâts peuvent en résulter. Une voiture fortement sollicitée lors de températures élevées risque toutefois aussi d’être endommagée.
Le TCS l’a constaté pendant la canicule de la fin du mois de juillet. En effet, les patrouilles ont dû intervenir plus de 2000 fois au cours de deux journées à peine, soit une hausse de plus de 30 % par rapport à des journées normales, indique l’association. Des pannes affectant les batteries des véhicules, les composants électroniques ou des pièces de moteur ont été à l’origine de l’intense activité estivale. «Ce sont justement les pannes de batterie qui causent de nombreuses interventions, car d’anciennes batteries sont particulièrement susceptibles de faire face à leurs limites sous la chaleur.» Des températures élevées dans le compartiment moteur favorisent les réactions chimiques indésirables qui contribuent aux défaillances de la batterie. Pour le TCS, la forte circulation due aux vacances constitue une autre cause des nombreuses interventions de dépannage.
«Il convient de s’assurer que la batterie n’a pas plus de cinq ans, faute de quoi elle est davantage susceptible de subir des dégâts», signale le TCS. Lorsque le mercure monte, il faut en outre garder un œil encore plus attentif que d’habitude sur la température du moteur et de l’huile. Si le niveau du liquide de refroidissement est bas ou si le témoin s’allume, le TCS conseille aux automobilistes de s’arrêter sans tarder et de contacter le service de dépannage. «Il suffit souvent de deux kilomètres supplémentaires pour abîmer le moteur, ce qui peut s’avérer très coûteux.»
La canicule a aussi permis aux garagistes de travailler plus. Dans huit cas sur dix, le TCS élimine lui-même la panne et l’automobiliste peut poursuivre sa route à bord de son véhicule. Si ce n’est pas possible, il choisit le garage dans lequel il souhaite que sa voiture soit remorquée.
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